Franz Künstler Hochheimer Hölle spätlese trocken 2003
J'ai acheté une bouteille de ce vin l'automne dernier et j'hésite en acheter d'autres. Malgré les risques, j'ai décidé d'ouvrir ce Riesling, afin de répondre à mon dilemne. Contrairement aux autres Riesling allemand, ce vin a très peu de sucres résiduels (il porte la mention "trocken").
Le nez est sur le citron et le crème soda (j'aimerais trouver quelque chose de plus élégant pour décrire cette odeur de semblant de vanille sucrée). L'attaque est très mordante (surprenant pour un 2003), on perçoit ensuite le côté sec de ce Riesling avec une texture et un goût crayeux. Malheureusement cela tombe un peu à plat par la suite et la finale végétale est un peu timide. Possiblement que le vin manque encore d'unité, comme je le craignais il est trop jeune encore. Je ne crois pas en racheter à 45$, je prèfère mettre mes $$$ sur un autre cheval... Spätlese de Keller?
Franz Künstler Hochheimer Hölle spätlese trocken 2003
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Montrachet
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Bon, comme tu as posté ton message ici une minute avant C&S, j'aurais du par principe te posé m’a question ici. Tu me répondras la ou ça te dira 
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Le problème que j’ai avec les vins allemand, j’ai de la difficulté à suivre leur terroirs, les producteurs et leur différente méthode d’élevage.
Dans un autre pays, quand je trouve quelque chose à mon gout, je recherche les vins des autres producteurs travaillant sur le même terroir et les vins du même producteur mais sur d’autre terroir. Ça permet de ce faire une idée de la qualité de leur travail et des différences d’élevage et de terroir.
J’aime bien aussi entremêler dans une dégustation les vins du même producteur pour tenté de reconnaître l’élevage.
Mais avec leur très nombreuses méthodes d’élevage, sur le même ou différent terroir, que l’ont ne retrouve pas nécessairement chez leur voisin et avec le peux de vin représenté au Québec, j’ai l’impression que même dans dix ans je n’arriverais jamais à saisir l’ensemble de l’œuvre des vins Allemand.
T’a un truc pour passé a travers
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Montrachet
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Le problème que j’ai avec les vins allemand, j’ai de la difficulté à suivre leur terroirs, les producteurs et leur différente méthode d’élevage.
Dans un autre pays, quand je trouve quelque chose à mon gout, je recherche les vins des autres producteurs travaillant sur le même terroir et les vins du même producteur mais sur d’autre terroir. Ça permet de ce faire une idée de la qualité de leur travail et des différences d’élevage et de terroir.
J’aime bien aussi entremêler dans une dégustation les vins du même producteur pour tenté de reconnaître l’élevage.
Mais avec leur très nombreuses méthodes d’élevage, sur le même ou différent terroir, que l’ont ne retrouve pas nécessairement chez leur voisin et avec le peux de vin représenté au Québec, j’ai l’impression que même dans dix ans je n’arriverais jamais à saisir l’ensemble de l’œuvre des vins Allemand.
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pango
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Plutôt occupé aujourd'hui, je vais revenir avec quelques impressions en soirée. Cependant un premier élément de réponse est que les vins allemands sont souvent bus trop jeunes. Il sont souvent nerveux en jeunesse et goûtent le sulfite. Pour saisir les subtilités des Riesling allemands, il faut les faire vieillir et être patient.Montrachet a écrit :Bon, comme tu as posté ton message ici une minute avant C&S, j'aurais du par principe te posé m?a question ici. Tu me répondras la ou ça te dira
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Le problème que j?ai avec les vins allemand, j?ai de la difficulté à suivre leur terroirs, les producteurs et leur différente méthode d?élevage.
Dans un autre pays, quand je trouve quelque chose à mon gout, je recherche les vins des autres producteurs travaillant sur le même terroir et les vins du même producteur mais sur d?autre terroir. Ça permet de ce faire une idée de la qualité de leur travail et des différences d?élevage et de terroir.
J?aime bien aussi entremêler dans une dégustation les vins du même producteur pour tenté de reconnaître l?élevage.
Mais avec leur très nombreuses méthodes d?élevage, sur le même ou différent terroir, que l?ont ne retrouve pas nécessairement chez leur voisin et avec le peux de vin représenté au Québec, j?ai l?impression que même dans dix ans je n?arriverais jamais à saisir l?ensemble de l??uvre des vins Allemand.
T?a un truc pour passé a travers
JJ Prüm conseille cinq ans de vieillissement pour le Kabinett. Je suis d'accord avec cette vision. Je suis renversé lorsque je vois sur WS que le Kabinett et le Spätlese 2004 de Prüm peut être bu maintenant! Sur Parker, il y avait aussi la même chose, mais cette tendance change avec David Schildknecht (site de Parker).
Modifié en dernier par pango le mar. 25 avr. 2006 21:43, modifié 1 fois.
Quelques petits trucs Montrachet.
On retrouve majoritairement de Mosel-Saar-Ruwer (MSR) à la SAQ et à la LCBO.
Pour mieux te retrouver entre les styles des producteurs ainsi que dans les variations de terroirs, tu pourrais te concentrer sur les vins de Moselle, car ce sont ceux qu'on retrouve en grande majorité et avec la plus grande variété, particulièrement au niveau de la Moyenne Moselle.
Dans un but d'apprentissage, je me restreindrais aussi au Kabinett et au Spätlese, en évitant les 2003 et ceux portant la mention trocken (je trouve 2003 très peu représentatif et il y a peu de trocken sur les tablettes de la SAQ).
Ainsi, en Moyenne Moselle, tu peux faire les comparaisons suivantes:
Vins provenant de Zeltingen (zeltinger schlossberg, himmelreich, sonnenuhr) par rapport à ceux de Wehlen (wehlener sonnenhur). Le Sonnenhur est plus réputé comme vignoble (mais il ne faut pas confondre avec le Juffer Sonnenhur beaucoup plus au sud).
Tout près, au sud-est (du moins, selon ma carte), tu as Graach. Parmi les "crus" ou vignobles, tu as le Himmelreich et le Domprobst. Domprobst est plus réputé comme terroir, donc tu pourrais comparer les 2 si on retrouve des vins d'un même producteur.
Enfin, au nord, tu as Ürzig et Erden, avec les vignobles de Würzgarten (à Ürzig) et Prälat et Treppchen (à Erden), situés l'un à côté de l'autre.
Ce sont 3 coins intéressants de la Moyenne Moselle pour lesquels on retrouve plusieurs vins à la SAQ, avec plusieurs bons producteurs (les différents Prüm, Selbach-Oster, Loosen, Christoffel, Schäfer entre autres), suffisamment proche pour avoir des similitudes au niveau du terroir.
Évidemment, avec une telle approche, on passe à côté de quelques incontournables (Egon Müller avec ses vins de Scharzhofberg en Saar ou Dönnhoff à Nahe, par exemple), mais pour découvrir les différents styles et quelques terroirs sans y passer 10 ans, je crois qu'il s'agit d'une approche intéressante.
Comme en Bourgogne, un livre ayant des cartes (l'atlas de Johnson par exemple) aide beaucoup.
On retrouve majoritairement de Mosel-Saar-Ruwer (MSR) à la SAQ et à la LCBO.
Pour mieux te retrouver entre les styles des producteurs ainsi que dans les variations de terroirs, tu pourrais te concentrer sur les vins de Moselle, car ce sont ceux qu'on retrouve en grande majorité et avec la plus grande variété, particulièrement au niveau de la Moyenne Moselle.
Dans un but d'apprentissage, je me restreindrais aussi au Kabinett et au Spätlese, en évitant les 2003 et ceux portant la mention trocken (je trouve 2003 très peu représentatif et il y a peu de trocken sur les tablettes de la SAQ).
Ainsi, en Moyenne Moselle, tu peux faire les comparaisons suivantes:
Vins provenant de Zeltingen (zeltinger schlossberg, himmelreich, sonnenuhr) par rapport à ceux de Wehlen (wehlener sonnenhur). Le Sonnenhur est plus réputé comme vignoble (mais il ne faut pas confondre avec le Juffer Sonnenhur beaucoup plus au sud).
Tout près, au sud-est (du moins, selon ma carte), tu as Graach. Parmi les "crus" ou vignobles, tu as le Himmelreich et le Domprobst. Domprobst est plus réputé comme terroir, donc tu pourrais comparer les 2 si on retrouve des vins d'un même producteur.
Enfin, au nord, tu as Ürzig et Erden, avec les vignobles de Würzgarten (à Ürzig) et Prälat et Treppchen (à Erden), situés l'un à côté de l'autre.
Ce sont 3 coins intéressants de la Moyenne Moselle pour lesquels on retrouve plusieurs vins à la SAQ, avec plusieurs bons producteurs (les différents Prüm, Selbach-Oster, Loosen, Christoffel, Schäfer entre autres), suffisamment proche pour avoir des similitudes au niveau du terroir.
Évidemment, avec une telle approche, on passe à côté de quelques incontournables (Egon Müller avec ses vins de Scharzhofberg en Saar ou Dönnhoff à Nahe, par exemple), mais pour découvrir les différents styles et quelques terroirs sans y passer 10 ans, je crois qu'il s'agit d'une approche intéressante.
Comme en Bourgogne, un livre ayant des cartes (l'atlas de Johnson par exemple) aide beaucoup.
Modifié en dernier par ti-cass le mar. 25 avr. 2006 22:16, modifié 1 fois.
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Montrachet
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