J'y vois un plus pour les amateurs n'hésitant à faire des milles, des pieds, des mains, des "bisbilles", "passes-passes" et mille-et-une contorsions pour optenir de belles bouteilles...non seulement de vins, mais de spiriteux...
Étant amateur de scotch, le marché anglo du pays est bcp plus riche pour l'offre de whiskies (autant canadiens...donc "local" qu'écossais)
Je vois également un beau potentiel pour les producteurs de l'Okanangan (d'ou le débuté proposant le projet
) de l'Ontario et du Québec!!! Via le commerce électronique et tel que mentionné le développoment de wine club comme chez nos voisins du sud.
Tant mieux pour les petits producteurs d'ici(...étendre d'un océan à l'autre
)...je serais bien content de pouvoir me procurer quelques bouteilles sachant qu'elle ne pourront jamais atteindre les tablettes de la SAQ, ni même une référence IP chez un agent, sois par confidentialité (voire petit volume) de la production ou juste moins d'emphase marketing...Exemple... Le Canada vinicole ne se résume pas à Mission Hill et le gros moteur pub de Vincor (Osoyoos-Larose, Inniskillin, Jackson Triggs, Clos Jordanne). Il y a quelques "girl next door" vachement intéressantes dans le niagara.
auxey-duresses a écrit :Vraiment rétrograde, que cette loi qui empêche la libre circulation de certains biens entre provinces, comme le vin et la bière.
Allez, nos charmants députés fédéraux, nous sommes en 2011, n'est-ce pas ?
Juste pour avoir le sentiment de ne plus jouer les bootlegers
(quoique que le petit feeling de pseudo-illégal est toujours trépidant
) je crois que cette loi va de soi au 21e siècle dans l'amérique du libre-échange.
Lafleur