CR DVS jeudi 28 juin - Petite Fleur Lindaflor mendoza 2004
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Bon, voilà. J'arrive. Ma dernière gorgée de Petite Fleur était tout à fait représentative des commentaires que j'ai émis durant la soirée. Son astringence était étonnante après huit heures en carafe. Tabac, bois, café, amertume. Rien de bien différent de tout ce qui a déjà été dit. Mais j'ai quand même bien aimé. 16/20
- Joanna
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Voici donc mon compte-rendu final sur ce vin très surprenant.
Je déguste ce qu'il reste d'hier (j'avais passé le vin de la carafe à la bouteille que j'avais ensuite bouchonnée, mais sans en enlever l'air, et remise dans la porte du frigo) et je remarque qu'en plus des arômes boisés de torréfaction, des notes animales, absentes hier, viennent s'ajouter ce soir à celles des fruits noirs que je détecte à présent très bien. En bouche, le vin reste boisé, mais jamais aussi intensément qu'hier. Des saveurs de fruits noirs (cassis, mûres et pruneaux) sont très perceptibles et ajoutent de la souplesse au vin qui n'a pas perdu son étonnante acidité, très agréable il va sans dire. L'amertume, surtout en finale, est toujours au rendez-vous, mais elle n'est pas déplaisante, loin de là !
Bref, ce vin est bien meilleur qu'hier à mon avis. Là, au moins, je n'ai plus l'impression de ne boire que de l'élevage... le cépage gagne du terrain ! Par contre, bien que je n'aie pas détesté ce vin, je l'ai trouvé plutôt fin, délicat et raffiné, je n'en rachèterai pas à cause de son rapport qualité/prix médiocre à mon avis. À 17-18$, il en vaudrait la peine, mais à 27.50$... hum, je préfère acheter autre chose !
Note : 16/20 (ignorant le prix... sinon : 14/20)
Je déguste ce qu'il reste d'hier (j'avais passé le vin de la carafe à la bouteille que j'avais ensuite bouchonnée, mais sans en enlever l'air, et remise dans la porte du frigo) et je remarque qu'en plus des arômes boisés de torréfaction, des notes animales, absentes hier, viennent s'ajouter ce soir à celles des fruits noirs que je détecte à présent très bien. En bouche, le vin reste boisé, mais jamais aussi intensément qu'hier. Des saveurs de fruits noirs (cassis, mûres et pruneaux) sont très perceptibles et ajoutent de la souplesse au vin qui n'a pas perdu son étonnante acidité, très agréable il va sans dire. L'amertume, surtout en finale, est toujours au rendez-vous, mais elle n'est pas déplaisante, loin de là !
Bref, ce vin est bien meilleur qu'hier à mon avis. Là, au moins, je n'ai plus l'impression de ne boire que de l'élevage... le cépage gagne du terrain ! Par contre, bien que je n'aie pas détesté ce vin, je l'ai trouvé plutôt fin, délicat et raffiné, je n'en rachèterai pas à cause de son rapport qualité/prix médiocre à mon avis. À 17-18$, il en vaudrait la peine, mais à 27.50$... hum, je préfère acheter autre chose !
Note : 16/20 (ignorant le prix... sinon : 14/20)
La beauté du vin, c'est qu'il défie tous les experts - Henry Wojcik