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par Chico » ven. 30 juil. 2010 12:21
Étonnamment, Léoville Las Cases s'est avéré le moins satisfaisant des trois vins rouges dégustés (en plus de Pfaffenheim Gerwurtztraminer 2008 qui était délicieux).
Cela n'est sans doute pas complètement étranger au fait que l'appétit et la soif représentent des conditions fondamentales d'appréciation. Bref, nous étions déjà rassasiés au moment de boire la bouteille de Las Cases.
La question qui demeure est donc la même que celle qui nous occupait suite à la verticale du 12 mars 2009: Le vin aurait-il pu être magnifique sans qu'on l'ait remarqué?
Et ma conclusion est la même: l'appréciation du vin représente une rencontre entre le vin et les dégustateurs. Il n'y a aucune raison de donner plus de chances ou de justifications à un vin du fait de son classement, sa réputation ou son prix.
LC83 était bon, certes, mais je lui ai préféré de loin La Croix de Gay Pomerol 1989 et de très loin Château Branaire 1986.
P.S. Je sais que le choix de la section est discutable pour mes derniers messages; c'est juste que j'ai décidé d'écrire un mot en vitesse quand j'ai voulu consulter le fil de discussion pour me rappeler les millésimes de Las Cases dégustés lors de la verticale. Je peux déplacer mes messages dans un nouveau sujet si un admin. me le demande.
