Quelle soirée ! Jamais seul ne j’aurais fait un tel line-up, mais « en gang »
l’exercice devenait abordable surtout que puisque nous avions annoncée cette dégustation longtemps d’avance, nous avons eu les bouteilles lors d’un 10%. Bravo TheDanny pour le « shopping ».
Service en confrontation, 7 de large à l’aveugle. Bouteilles ouverte 1h30 avant le service, pas de carafe. Verres identiques pour tous les participants.
Les résultats sont assez incroyables, du moins de mon point de vue néophyte….
Echezeaux grand cru Pierre André 2004 -> 49 pts
Echezeaux grand cru Jacques Prieur 2006 -> 42 pts
Echezeaux grand cru Comte Liger-Belair 2006 -> 38 pts
Echezeaux grand cru Joseph Drouhin 2006 -> 36 pts
Échezeaux grand cru Domaine des Perdrix 2006 -> 33 pts
Echezeaux grand cru Domaine François Lamarche 2006 -> 14 pts
Grand Echezeaux grand cru Domaine François Lamarche 1996 -> 12 pts
Dans l’ordre de service et non pas de classement :
1- Lamarche 2006 : Nez de vernis, bouche avec une bonne masse tannique et corps plein.
2- Drouhin 2006 : Nez qui fait « Beaujolais », tanins très dociles, finale courte.
3- Domaine Perdrix 2006 : Le fruité est d’un beau croquant, bien.
4- Pierre André 2004 : Robe évoluée, arômes au nez dans le même ordre. Bouche tannique et amertume en finale. Je fini par l’identifier comme le plus vieux pour suivre les autres…. Mon premier call était meilleur.
5- Liger-Bélair 2006 : Nez fumé cendré, bouche pleine. S’ouvre beaucoup avec le temps. Je suppose l’une des bouteille les plus dispendieuse.
6- Lamarche 1996 : Boisé, gomme baloune et notes d’écurie, tanins fondus. Je suppose que c’est le G-É… choix qui sera changé à la toute fin.
7- Jacques Prieur 2006 : Œil leplus violacé du groupe. Belle matière très serré avec un fruit très présent. Long et massif en bouche.
En apéro il y a eu : Domaine des Lambrays, La Rose du Clos 2008, rosé et Marsanay Bruno Clair, 2007, rosé. Chacun a eu son moment de gloire. Le Lambray en apéro et le Bruno Clair à la vin de la soirée.
L’extra :
Quoi de mieux qu’un Bordeaux en jeunesse pour conclure une soirée de grand crus de Bourgogne ?.
Lafite 2002 a démontré sa profondeur malgré son caractère de jeunesse. Très compact encore, les notes de moka au nez sont très belles et la bouche demeure très accessible. L’heure de carafe lui a juste donné un minuscule coup de main.
La finale fut un rosé italien que j’ai oublié le nom et l’année. Bd70, tu dois nous compléter l’info.
Je reviendrais pour ajouter selon les commentaires des autres comparces.