Reprise de l'Open Fouduvin
- Pedro The Lion
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L'OpenFDV sera repris ce vendredi 15 août. Toutefois, les places sont actuellement comblées.
M'envoyer un MP pour être sur la liste d'attente SVP.
Il y aura une dégustation après la partie, le thème choisi sera "milieu des années 90". Don Max prévoit nous sortir quelques trouvailles de ces années.
Pour le golf proprement dit, formule Végas à 2... histoire que le chemin de retour vers Trois-Rivières en soit un de "croix!...
M'envoyer un MP pour être sur la liste d'attente SVP.
Il y aura une dégustation après la partie, le thème choisi sera "milieu des années 90". Don Max prévoit nous sortir quelques trouvailles de ces années.
Pour le golf proprement dit, formule Végas à 2... histoire que le chemin de retour vers Trois-Rivières en soit un de "croix!...
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L'OpenFDV aura lieu vendredi le 15 août à compter de midi au club de Golf Rive-Sud tel que mentionné aux participants. Il est impossible de le remettre une autre fois, puisqu'on annonce 30 cm de neige pour la semaine prochaine !
Le golf sera suivi d'une dégustation ayant pour thème milieu des années 1990...
À suivre !
Le golf sera suivi d'une dégustation ayant pour thème milieu des années 1990...
À suivre !
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Après une troisième tentative, l’OpenFDV a eu lieu au gros soleil !!!!
Voici le line-up de la soirée :
Le début :
Saint-Véran Combe aux Jacques Louis Jadot 2006
Chardonnay Greg Norman Eden Valley 2006
1er vague :
Ch. Dauzac, Margaux, 1996
Cantena, Cabernet Sauvignon, Mendoza, Argentine, 1996
Baron de Ley Gran Reserva Rioja 1995
Ch. Beychevelle, St-Julien, 1996
2e vague :
Errazuriz syrah 1997
Ch. Montus, Madiran, 1991
Le Méal Ferraton Ermitage 1999
Ch. Magdeleine, St-Émilion, 1997
La fin :
Ladesvignes, Monbazillac, 2003
J.L Chave, Offerus, 2005
Commentaires et classement à venir. Merci à chacun !!!
Voici le line-up de la soirée :
Le début :
Saint-Véran Combe aux Jacques Louis Jadot 2006
Chardonnay Greg Norman Eden Valley 2006
1er vague :
Ch. Dauzac, Margaux, 1996
Cantena, Cabernet Sauvignon, Mendoza, Argentine, 1996
Baron de Ley Gran Reserva Rioja 1995
Ch. Beychevelle, St-Julien, 1996
2e vague :
Errazuriz syrah 1997
Ch. Montus, Madiran, 1991
Le Méal Ferraton Ermitage 1999
Ch. Magdeleine, St-Émilion, 1997
La fin :
Ladesvignes, Monbazillac, 2003
J.L Chave, Offerus, 2005
Commentaires et classement à venir. Merci à chacun !!!
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Wow! Quelle après-midi et quelle soirée! Que demander de mieux? Une journée splendide, des gens sympathiques et de bonne humeur, un beau terrain de golf, du bon vin, de la bonne bouffe. Ah! La belle vie!
Merci à WhiteSmith et BlackSmith pour leur générosité légendaire et pour l’organisation de cet événement PSPS (pour super-persévérants seulement!). Qui l’eût cru? L’Open FDV a finalement eu lieu!
Maintenant, parlons vins!
Saint-Véran Combe aux Jacques Louis Jadot 2006
Belle entrée en matière. Ce vin a constitué le 19e trou parfait. Frais et rafraîchissant. 16/20
Chardonnay Greg Norman Eden Valley 2006
Pas de doute, il s’agit bien de chardonnay. Après le golf … Greg Norman qui nous attendait. Bien joué e2-e4! Rond et boisé (mais sans excès, je concède, Don!). J’aime le chardonnay, j’aime le boisé sans excès, j’aime ce vin australien. 17/20
1ère vague : 4 bons vins nez à nez, aucun n’est laissé derrière. Les décimales, c’est juste pour montrer la difficulté de l’exercice de classement. Tous entre 17 et 18/20. Il ne faut pas en conclure que je prétends détenir de grands talents de discrimination; après tout, je demeure un élève au clavier…
1. Ch. Dauzac, Margaux, 1996
Nez animal, viandé. Poivre en bouche. 17,6/20
2. Catena, Cabernet Sauvignon, Mendoza, Argentine, 1996
Le plus fruité de tous. Sur la mûre bien mûre, mur à mur. 17,9/20
3. Baron de Ley Gran Reserva Rioja 1995
Légèrement plus transparent que les autres. Les meilleurs descriptifs me sont venus des autres goûteurs. Caramel (que Témis a pourtant prononcé en référant à un autre vin!) et petits raisins secs de la Californie (WhiteSmith, qui a même fait circuler une petite boîte de raisins en guise de témoignage). Il était plus court que les autres et il arborait aussi des arômes de poivre ainsi qu’un peu de poivron vert. 17,3/20
4. Ch. Beychevelle, St-Julien, 1996
Au risque de paraître un peu chauvin, j’ai reconnu le vin que j’avais apporté et il a été mon préféré de la soirée. Animal, écurie, cuir? Bien sûr, c’est un Beychevelle; il faut s’y faire. Des bretts? Comment le nier lorsqu’on a le brett-o-pif assis assez près pour qu’on en confonde nos verres d’eau? Personnellement, j’aime ce goût s’il n’est pas trop prononcé et c’était le cas en ce qui a trait au Château Beychevelle 1996.
Mon ordre de préférence de la 1ère vague : 4-2-1-3
2e vague : Agréable mais nettement moins convaincante
1. Errazuriz syrah 1997
À mon goût, le seul des 4 vins de la 2e vague qui se mesurait aux vins de la 1ère vague. Je n’ai pas noté beaucoup de choses mais il y avait un petit côté vanille (ce qui me rebute habituellement car je l’associe aux vins maison) assez charmant. N’étant pas très porté sur la syrah, ce vin m’a agréablement surpris. 17,3/20
2. Ch. Montus, Madiran, 1991
Un petit côté promenade dans les bois. Si quelqu'un a été déçu, c'est qu'il avait des attentes. Déguster à l'aveugle, ça a aussi ses avantages. 17/20
3. Le Méal Ferraton Ermitage 1999
Une intensité remarquable d’arômes qui malheureusement me déplaisent. Je disais plus tôt que je n’étais pas porté sur la syrah. En voilà une nette démonstration. Un certain arôme de faux sapin de Noël qu’on branche dans la prise électrique. En même temps, de vagues mais résolument mauvais souvenirs d’Amérique latine qui se sont précisés par la suite : le mezcal. Merci aux Smith d’avoir consenti à ouvrir leur bouteille de Mezcal pour qu’on puisse comparer. Malgré que je n’y aie pas retrouvé l’arôme recherché (dans la bouteille de Mezcal), je persiste à associer le Méal Ferraton à une expérience lointaine de Mezcal où la modération, hélas, n’avait pas été au rendez-vous; vous voyez le portrait? Je ne critique pas la qualité de ce vin; je le soumets à l’évaluation de mon goût personnel absolument subjectif. 12/20 (Voilà qui me fera peut-être perdre la réputation de Sonia Benezra du vin qui commençait à me coller à la peau…).
4. Ch. Magdeleine, St-Émilion, 1997
Bouchonné? Voyons donc! Si peu… Si peu que pas! Mais le malheur dans ce genre de choses c’est qu’un vin bouchonné, même trop peu pour qu'on puisse le percevoir, aurait hélas déjà renoncé à ses qualités intrinsèques les plus intimes. J’ai plutôt apprécié ce vin, voyez-vous. Je n’ai pas l’habitude d’apprécier un vin bouchonné (un peu de tautologie, ça fait toujours du bien ) et c’est probablement l’odeur que je perçois le plus aisément dans un vin. Pour en avoir le cœur net, il faudrait avoir la possibilité de comparer. De subtils mais non moins agréables arômes animaux (bretts, Don?). 16/20
Mon ordre de préférence de la 2e vague : 1-2-4-3
Ladesvignes, Monbazillac, 2003
Je connaissais bien ce vin que j’ai apprécié avant de quitter la table. 16/20
Merci encore à chacun et chacune pour cette magnifique journée extensible passée en agréable compagnie. Golf et vin, quelle formidable formule quand Dame Nature l’autorise!
Temis, Passédate, DonMax, Dantès, e2-e4, e2e-e4e, B&WSmith, vous êtes super! Merci!
Merci à WhiteSmith et BlackSmith pour leur générosité légendaire et pour l’organisation de cet événement PSPS (pour super-persévérants seulement!). Qui l’eût cru? L’Open FDV a finalement eu lieu!
Maintenant, parlons vins!
Saint-Véran Combe aux Jacques Louis Jadot 2006
Belle entrée en matière. Ce vin a constitué le 19e trou parfait. Frais et rafraîchissant. 16/20
Chardonnay Greg Norman Eden Valley 2006
Pas de doute, il s’agit bien de chardonnay. Après le golf … Greg Norman qui nous attendait. Bien joué e2-e4! Rond et boisé (mais sans excès, je concède, Don!). J’aime le chardonnay, j’aime le boisé sans excès, j’aime ce vin australien. 17/20
1ère vague : 4 bons vins nez à nez, aucun n’est laissé derrière. Les décimales, c’est juste pour montrer la difficulté de l’exercice de classement. Tous entre 17 et 18/20. Il ne faut pas en conclure que je prétends détenir de grands talents de discrimination; après tout, je demeure un élève au clavier…
1. Ch. Dauzac, Margaux, 1996
Nez animal, viandé. Poivre en bouche. 17,6/20
2. Catena, Cabernet Sauvignon, Mendoza, Argentine, 1996
Le plus fruité de tous. Sur la mûre bien mûre, mur à mur. 17,9/20
3. Baron de Ley Gran Reserva Rioja 1995
Légèrement plus transparent que les autres. Les meilleurs descriptifs me sont venus des autres goûteurs. Caramel (que Témis a pourtant prononcé en référant à un autre vin!) et petits raisins secs de la Californie (WhiteSmith, qui a même fait circuler une petite boîte de raisins en guise de témoignage). Il était plus court que les autres et il arborait aussi des arômes de poivre ainsi qu’un peu de poivron vert. 17,3/20
4. Ch. Beychevelle, St-Julien, 1996
Au risque de paraître un peu chauvin, j’ai reconnu le vin que j’avais apporté et il a été mon préféré de la soirée. Animal, écurie, cuir? Bien sûr, c’est un Beychevelle; il faut s’y faire. Des bretts? Comment le nier lorsqu’on a le brett-o-pif assis assez près pour qu’on en confonde nos verres d’eau? Personnellement, j’aime ce goût s’il n’est pas trop prononcé et c’était le cas en ce qui a trait au Château Beychevelle 1996.
Mon ordre de préférence de la 1ère vague : 4-2-1-3
2e vague : Agréable mais nettement moins convaincante
1. Errazuriz syrah 1997
À mon goût, le seul des 4 vins de la 2e vague qui se mesurait aux vins de la 1ère vague. Je n’ai pas noté beaucoup de choses mais il y avait un petit côté vanille (ce qui me rebute habituellement car je l’associe aux vins maison) assez charmant. N’étant pas très porté sur la syrah, ce vin m’a agréablement surpris. 17,3/20
2. Ch. Montus, Madiran, 1991
Un petit côté promenade dans les bois. Si quelqu'un a été déçu, c'est qu'il avait des attentes. Déguster à l'aveugle, ça a aussi ses avantages. 17/20
3. Le Méal Ferraton Ermitage 1999
Une intensité remarquable d’arômes qui malheureusement me déplaisent. Je disais plus tôt que je n’étais pas porté sur la syrah. En voilà une nette démonstration. Un certain arôme de faux sapin de Noël qu’on branche dans la prise électrique. En même temps, de vagues mais résolument mauvais souvenirs d’Amérique latine qui se sont précisés par la suite : le mezcal. Merci aux Smith d’avoir consenti à ouvrir leur bouteille de Mezcal pour qu’on puisse comparer. Malgré que je n’y aie pas retrouvé l’arôme recherché (dans la bouteille de Mezcal), je persiste à associer le Méal Ferraton à une expérience lointaine de Mezcal où la modération, hélas, n’avait pas été au rendez-vous; vous voyez le portrait? Je ne critique pas la qualité de ce vin; je le soumets à l’évaluation de mon goût personnel absolument subjectif. 12/20 (Voilà qui me fera peut-être perdre la réputation de Sonia Benezra du vin qui commençait à me coller à la peau…).
4. Ch. Magdeleine, St-Émilion, 1997
Bouchonné? Voyons donc! Si peu… Si peu que pas! Mais le malheur dans ce genre de choses c’est qu’un vin bouchonné, même trop peu pour qu'on puisse le percevoir, aurait hélas déjà renoncé à ses qualités intrinsèques les plus intimes. J’ai plutôt apprécié ce vin, voyez-vous. Je n’ai pas l’habitude d’apprécier un vin bouchonné (un peu de tautologie, ça fait toujours du bien ) et c’est probablement l’odeur que je perçois le plus aisément dans un vin. Pour en avoir le cœur net, il faudrait avoir la possibilité de comparer. De subtils mais non moins agréables arômes animaux (bretts, Don?). 16/20
Mon ordre de préférence de la 2e vague : 1-2-4-3
Ladesvignes, Monbazillac, 2003
Je connaissais bien ce vin que j’ai apprécié avant de quitter la table. 16/20
Merci encore à chacun et chacune pour cette magnifique journée extensible passée en agréable compagnie. Golf et vin, quelle formidable formule quand Dame Nature l’autorise!
Temis, Passédate, DonMax, Dantès, e2-e4, e2e-e4e, B&WSmith, vous êtes super! Merci!
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